Article publié sur rollingstone.fr
Entre l’irrésistible et la nostalgie, ce Best of des White Stripes est un must-have pour les fans

Même dans le communiqué de presse du disque, Jack White ne peut pas s’empêcher d’entretenir le mensonge quant à sa relation avec Meg White : « en 1997, un frère et une sœur montèrent dans le grenier de leur propriété familiale du sud-ouest de Detroit pour dynamiter « Moonage Daydream » de David Bowie… » Bla, bla, bla. S’il n’est nul doute concernant leur penchant pour Ziggy Stardust, on sait qu’ils ont en réalité été mariés, puis divorcés alors que les White Stripes prenaient à peine leur envol, au tout début des années 2000. Et que leur rock garage est alors devenu non seulement le leader d’un renouveau rock du XXIe siècle mais aussi le détenteur d’un hymne ultime, des stades XXL au troquet du coin, « Seven Nation Army ». Lequel figure bien sûr dans ce best of.
Plutôt de rassembler les singles du duo, il propose les morceaux qui transportaient plus le public lors de concerts aussi abrasifs que rudimentaires. Donc, forcément, “The Hardest Button to Button”, “The Nurse”, “Blue Orchid”, “I Think I Smell Like A Rat”… Irrésistibles, même si on ne peut s’empêcher d’être un brin nostalgiques !
Entre l’irrésistible et la nostalgie, ce Best of des White Stripes est un must-have pour les fans
Même dans le communiqué de presse du disque, Jack White ne peut pas s’empêcher d’entretenir le mensonge quant à sa relation avec Meg White : « en 1997, un frère et une sœur montèrent dans le grenier de leur propriété familiale du sud-ouest de Detroit pour dynamiter « Moonage Daydream » de David Bowie… » Bla, bla, bla. S’il n’est nul doute concernant leur penchant pour Ziggy Stardust, on sait qu’ils ont en réalité été mariés, puis divorcés alors que les White Stripes prenaient à peine leur envol, au tout début des années 2000. Et que leur rock garage est alors devenu non seulement le leader d’un renouveau rock du XXIe siècle mais aussi le détenteur d’un hymne ultime, des stades XXL au troquet du coin, « Seven Nation Army ». Lequel figure bien sûr dans ce best of.
Plutôt de rassembler les singles du duo, il propose les morceaux qui transportaient plus le public lors de concerts aussi abrasifs que rudimentaires. Donc, forcément, “The Hardest Button to Button”, “The Nurse”, “Blue Orchid”, “I Think I Smell Like A Rat”… Irrésistibles, même si on ne peut s’empêcher d’être un brin nostalgiques !